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Prenez soin de votre peau

09 février 2023

La peau est l'organe le plus grand (en surface et en poids) et le plus visible du corps humain. Cet organe dynamique subit de nombreux changements tout au long de la vie. Elle est essentielle à notre santé et à notre bien-être général et se renouvelle ± tous les 28 jours.

Comment la peau évolue-t-elle en vieillissant ?

En vieillissant, notre peau change également. Le vieillissement de la peau est un phénomène normal et naturel qui commence dès l'âge de 25-30 ans.

Au fil des ans, la structure de soutien essentielle de la peau commence à se dégrader. La production naturelle de collagène, d'acide hyaluronique et d'élastine diminue avec l'âge, entraînant une perte de fermeté, de souplesse et d'hydratation de la peau. Ce phénomène rend la peau plus fine, plus faible, plus sèche, plus fragile, plus pigmentée et plus vulnérable. Progressivement, des ridules, des pattes d'oie et des rides (profondes) apparaissent,...

Quels sont les éléments essentiels à la jeunesse de la peau ?

Collagène

Le collagène est une protéine présente naturellement chez les humains et les animaux. Il forme un réseau fibreux qui fournit une structure aux tissus de l'organisme. Il assure, entre autres, une peau forte, souple et résiliente. Cette protéine corporelle représente environ 1/3 de toutes les protéines présentes dans notre corps et est responsable de 70% du réseau qui donne à notre peau sa force. Il existe différents types de collagène, dont les types I et II sont les plus importants pour la peau.

Elastine

L'élastine est une protéine qui a une fonction essentielle dans les parois des vaisseaux sanguins et les tissus pulmonaires, mais aussi dans la peau. Elle assure la souplesse et l'élasticité de la peau et lui permet de retrouver sa position initiale après un froncement de sourcils. Avec l'âge, les fibroblastes produisent moins d'élastine et donc l'élasticité de la peau diminue également, favorisant l'apparition de rides et de ridules.

Acide hyaluronique

L'acide hyaluronique est une substance endogène présente dans la peau. C'est le champion de l'hydratation. Les molécules d'acide hyaluronique se lient jusqu'à 1000 fois leur propre poids en eau et peuvent assurer une hydratation optimale de la peau. Au cours du processus de vieillissement, la quantité d'acide hyaluronique diminue, ce qui entraîne une peau sèche, terne et affaissée. L'acide hyaluronique, grâce à ses puissantes propriétés hydratantes, contribue à ralentir et à réparer les effets du vieillissement.

Hygiène intime : ce qui est conseillé et ce qui ne l’est pas.

01 février 2023

Nous sommes habitués à nous brosser les dents, nous laver le visage et le corps chaque jour, mais qu'en est-il de notre zone intime ? Quelle hygiène y apporter ?

Non conseillé : douche vaginale

Le vagin est un organe parfaitement auto nettoyant. Il maintient le pH et la flore vaginale en équilibre. Un rinçage excessif à l'eau perturbe cet équilibre. Evitez les douches vaginales. Elles prétendent tout "rafraîchir", mais au bout du compte, elles éliminent les bonnes bactéries qui gardent votre vagin « propre ». Conséquences : un risque accru d'infections (telle que la vaginose bactérienne par exemple). Les douches vaginales sont non seulement inutiles mais carrément nuisibles.

Conseillé : utiliser un produit sans savon pour votre vulve.

Votre zone intime se compose d'une partie interne (le vagin) et d'une partie externe (la vulve). Vous pouvez prendre soin des lèvres, du clitoris, de l'entrée de l’urètre et du vagin. Utilisez de l'eau (en quantité raisonnable), mais pas de savon ni de gel douche ordinaire. Choisissez un produit doux et naturel qui respecte et soutient non seulement le niveau de pH naturel, mais aussi votre flore vulvovaginale.

Un sentiment d'insécurité à la vue de pertes ?

Les écoulements (pertes blanches) sont parfaitement normaux. Ces sécrétions permettent à votre vagin de se maintenir propre. Des écoulements qui vous démangent ou qui ont une odeur forte ? Il peut alors s'agir d'un autre problème, comme une infection fongique ou bactérienne.

On pourrait décrire l'odeur naturelle du vagin comme celle d'un yaourt ou d'une légère levure. Si l’odeur est trop forte ou nauséabonde, vous avez probablement une infection à levures ou une éventuelle vaginose bactérienne. Demandez conseil à votre médecin.

Conseillé : porter des sous-vêtements en coton

Les sous-vêtements synthétiques ne laissent pas passer l'air et peuvent devenir très humides, provoquant une prolifération bactérienne et des mycoses. Les sous-vêtements en coton respirent et évacuent facilement l'humidité. Changer rapidement de sous-vêtements après un exercice ou enlever son maillot de bain rapidement après une baignade peut également contribuer à prévenir ce type de désagréments.

Non conseillé : Se laver plusieurs fois par jour

Tout comme il n'est pas bon de se laver trop peu, il n'est pas bon non plus de se laver de trop. Prenez soin de votre zone intime une fois, au maximum deux fois, par jour.

Vitamines 100% naturelles

01 février 2023

A la sortie de l’hiver, on peut ressentir un manque d’énergie et une fatigue que même une alimentation saine et équilibrée ne parvient pas à solutionner. On peut alors penser à un complexe de vitamines pour tenir le coup et repartir du bon pied.

La plupart des vitamines vendues sur le marché sont synthétiques et parfois même fabriquées à partir de dérivés du pétrole. Mais saviez-vous qu’il existe des vitamines 100% naturelles qui soulagent au moins aussi bien que les autres les maux du quotidien ?

Lorsqu’on utilise des vitamines 100% naturelles, cela signifie que tous les actifs et les ingrédients sont 100% d’origine végétale, issus exclusivement de plantes et de fruits. Cela permet d’offrir une formule totalement « verte », avec 100% de garanties :

  • Ces vitamines ne contiennent aucun ingrédient chimique ;
  • Elles sont sans ajout de vitamine artificielle ;
  • Elles sont composées de vitamines extraites sans solvant synthétique.

Le pouvoir antioxydant, bien supérieur à celui procuré par les vitamines chimiques, agit comme un véritable bouclier naturel qui aide à protéger le corps des agressions externes (soleil, pollution, fatigue et stress) et ralentit le vieillissement de la peau et des cellules.

Ces vitamines et minéraux naturels sont également plus proches de ceux provenant de l’alimentation, ce qui leur permet d’être :

  • Davantage compatibles avec la physiologie humaine,
  • Mieux assimilés et mieux utilisés par l’organisme.

Parmi les nutriments qui interviennent dans le maintien du fonctionnement du système immunitaire, on distingue la Vitamine C et D.

Lorsqu’on parle de Vitamine C, on pense à l’Acérola. Grâce à son potentiel antioxydant et son apport nutritionnel, il aide à stimuler la réponse immunitaire et à réduire la fatigue. La Vitamine C agit sur la croissance et le fonctionnement des cellules immunitaires et la production d’anticorps. Elle est donc efficace pour réduire l’incidence et la durée des infections comme dans le cas du rhume et de la fatigue.

De nombreux experts scientifiques préconisent d’associer les vitamines C et D. Leur complémentarité d’action permet un meilleur effet sur l’immunité et aide à renforcer les défenses naturelles de l’organisme. Combinées, elles agissent sur la vitalité, réduisent la fatigue, diminuent le risque, la gravité et la durée d’infections des voies respiratoires, et renforcent la santé osseuse.

Alors, prêts à passer aux vitamines naturelles ?

MÉNOPAUSE, QUAND LA BALANCE S’AFFOLE !

02 juillet 2021

Regain de cellulite, seins plus volumineux, surpoids avec obésité abdominale, le fameux  ventre gras… La ménopause s’accompagne souvent d’une prise de poids.  Pourquoi, et comment éviter que les kilos s’installent ? On vous dit tout !

« J’ai 50 ans, je prends du poids, en moyenne un kilo par an, alors que je ne mange pas plus qu’à 40 ans ! Et j’attrape du ventre ! » s’affolent de nombreuses quinquagénaires. La ménopause constitue, en effet, un tournant radical dans la vie d’une femme. Les Anglais, toujours très terre à terre, parlent d’ailleurs de « change of life », de changement de vie. A 50 ans, non seulement la femme ménopausée ne peut plus concevoir des enfants spontanément, mais elle voit, de surcroît, sa silhouette changer, gonfler, bedonner. La quinqua s’empâte – bigre, le vilain verbe ! –, la faute à qui, à quoi ?

La faute aux hormones ! Les hormones féminines conditionnent en effet le stockage et la dépense des cellules graisseuses. La ménopause, en provoquant une chute de production des hormones féminines et donc un déséquilibre hormonal, va modifier la répartition des graisses. Adieu ventre plat, bonjour ventre gras et poignées d’amour ! Pire : de nombreux spécialistes des hormones pointent également du doigt la responsabilité d’autres hormones, mâles cette fois. De fait, chez la femme, le taux de testostérone diminue progressivement jusqu’à chuter de 50 % à la ménopause. Or la testostérone a notamment pour rôle le développement musculaire. Une carence en testostérone provoque donc une augmentation de la masse graisseuse au détriment des muscles, qui sont les organes qui consomment le plus d’énergie !

En résumé : la prise de poids durant la ménopause, on la doit non seulement à une déficience androgénique qui masculinise la silhouette, mais aussi à une déficience testostéronique qui va provoquer une diminution de la masse musculaire au profit du gras ! Sans taire que la baisse du niveau d’œstrogène peut également influer sur notre système digestif et provoquer des ballonnements ou de la constipation. Ce qui n’aide pas à perdre du poids, cela va sans dire…

Comment stabiliser la balance ?

Pour améliorer la qualité de vie des femmes ménopausées, de nombreux gynécologues prescrivent des Traitements Hormonaux de Substitution (THS). Selon certaines études, le THS ferait prendre du poids, 1 à 3 kilos ; selon d’autres, le THS, au contraire, réduirait le tissu adipeux abdominal, lequel est notamment néfaste pour la santé cardiovasculaire. Parlez-en à votre gynécologue !

Par ailleurs, la ménopause est souvent associée à une modification de l’humeur, à un manque d’entrain voire à une baisse d’estime de soi ou à un vécu dépressif que certaines femmes compensent en grignotant gras ou sucré ! Si le chocolat est un stimulant, le sucre qu’il contient fait évidemment grossir ! A 50 ans, il faut manger (un peu) moins et bouger (beaucoup) plus ! Le sport augmente les dépenses énergétiques et favorise donc la stabilité du poids ! C’est une vérité qui n’arrange évidemment aucune quinqua, mais il s’avère beaucoup plus difficile de perdre 5 kilos à 50 ans qu’à 20 ans !

Le ventre gras, méfiance !

Si votre tour de taille est supérieur à 88 cm, méfiance ! La graisse abdominale qui s’installe à 50 ans est potentiellement responsable de nombreuses pathologies : augmentation du mauvais cholestérol, de la pression artérielle, des risques cardiovasculaires… Il serait peut-être temps de penser prévention – notamment en faisant un bilan santé – afin d’empêcher ce bourrelet naissant de vous gâcher (le reste de) la vie !

Les bons réflexes pour perdre du poids à 50 ans !

  • Faire un bilan santé biologique (taux de cholestérol HDL et LDL, glycémie, etc.) et un bilan hormonal complet de prévention (qui inclut aussi les taux de testostérone et de DHEA, une hormone qui pourrait réduire le tour de taille) pour une prise en charge adaptée.
  • Consulter son gynécologue pour un Traitement Hormonal de Substitution qui pourrait éviter le stockage des graisses.
  • Faire une analyse de son comportement alimentaire. Avec l’aide d’une diététicienne, si besoin est.
  • Manger sainement en diminuant le sel, les hydrates de carbone, les mauvaises graisses. Et le sucre. Méfiez-vous du sucre : l’industrie agroalimentaire en ajoute partout !
  • Bouger ! Il faut idéalement combiner une activité cardiovasculaire (vélo, jogging, natation, etc.) à une activité musculaire. Développer les muscles permet de brûler plus de calories, même la nuit.
  • Faire preuve de patience ! Ce n’est pas le conseil le plus facile à suivre – croyez-en notre expérience !

DORMEZ COMME UN BÉBÉ !

02 juillet 2021

En Belgique 1 adulte sur 3 dort mal et 1 sur 6 prend des somnifères. Les troubles du sommeil existent depuis longtemps et sont souvent la conséquence du vieillissement, d’un travail irrégulier, du stress, de la caféine ou de l’alcool, de l’utilisation de smartphones avant le coucher, de la dépression ou d’une carence en mélatonine.

L’hormone du sommeil

La mélatonine est une substance naturelle et sûre que notre corps produit dans la glande pinéale au centre de notre cerveau. Elle règle notre horloge biologique. Tout le monde en produit à la tombée du jour dans l’obscurité. La mélatonine met notre corps en état de sommeil. Elle occasionne une sensation de somnolence qui vous pousse à aller vous coucher. Par contre, la synthèse diminue suite à une exposition à la lumière bleue et a un effet inverse à l’effet activateur des hormones en journée, comme l’adrénaline.

Quelles sont les causes des troubles du sommeil ?

Certains facteurs peuvent perturber notre horloge biologique : le stress, l’alcool, la caféine, les mauvaises habitudes alimentaires, le sport tard le soir, l’exposition à la lumière bleue sont tous des facteurs inhibiteurs. La lumière bleue que nous connaissons tous (peut-être inconsciemment) comme la lumière du téléviseur, de l’ordinateur et des smartphones est coupable et rend notre sommeil difficile. Nous ne nous rendons souvent même pas compte de l’exposition élevée à cette lumière bleue et des risques qui en découlent. En fait, nous sommes constamment confrontés à cette lumière.

Consulter Facebook juste avant le coucher alors que vous êtes déjà au lit ? Pas une bonne idée.
Répondre à ses emails depuis son ordinateur portable, ceci tard le soir ? Pas une bonne idée !
Vouloir voir le dernier épisode de la dernière série sur Netflix ? Toujours pas une bonne idée, car ici la lumière bleue fonctionne de façon irrévocable sur votre rythme éveil-sommeil. La lumière de votre ordinateur garde votre cerveau en mode jour ! Conséquence ? Vous vous endormez difficilement.

Un apport de mélatonine peut aider

Une production tardive ou une pénurie en mélatonine occasionne une carence. C’est la raison pour laquelle il est important de conserver un bon rythme d’éveil-sommeil en complémentant avec de la mélatonine si nécessaire. La mélatonine aide à bien s’endormir, à passer une bonne nuit de sommeil et à se lever reposé. Si vous avez une carence, aidez votre corps à régler son horloge biologique avec un complément alimentaire de mélatonine.

DEVENEZ UNE REINE DES NEIGES !

22 décembre 2020


Enfin, les frimas débarquent avec leurs petits plaisirs : le thé chaud au coin du feu, les balades en forêt… Mais aussi la peau en papier émeri et les lèvres crevassées ! Voici les bons moyens de lutter contre les températures glagla et d’accueillir l’hiver en beauté.

Au secours, ma peau tiraille !

QUELS SOUCIS ?

A cause du froid, la circulation sanguine est perturbée et la peau, en manque d’éléments nutritifs, demeure l’une des premières à en souffrir. Du coup, elle devient plus sèche et plus rugueuse. Qui plus est, les différences de température entre l’extérieur et l’intérieur entraînent rougeurs et irritations chez les plus sensibles. Et si vous partez skier, vous risquez en plus des brûlures…

VOTRE OFFENSIVE ANTI-HIVER

  • Une simple crème hydratante n’est pas suffisante s’il fait vraiment froid ou si vous skiez. Préférez une crème nourrissante plus riche qui vous protège de manière nettement plus efficace.
  • Si vous avez tendance à présenter souvent des boutons, il existe des cosmétiques non comédogènes fournissant malgré tout une hydratation valable. Sans cette précaution, une éventuelle acné risque de s’aggraver.
  • Démaquillez-vous scrupuleusement avec un lait ou une huile. Oubliez le savon qui dessèche plus encore la peau.
  • Si vous skiez, utilisez d’office des produits pourvus de filtres UV haute protection. En altitude, le rayonnement solaire se réverbère davantage sur la neige et augmente le danger de brûlures.
  • Lavez votre visage à l’eau tiède. Si l’eau brûlante apporte de délicieuses sensations quand le thermomètre dégringole, elle rend également la peau moins souple.

Mon corps, c’est du papier de verre !

QUELS SOUCIS ?

La peau ressemble à des écailles de croco et vos jambes peuvent concurrencer le papier de verre. En effet, les vêtements chauds, souvent en tissus synthétiques, rendent l’épiderme plus sec et plus sensible. Et comme l’atmosphère est aussi sèche à l’intérieur qu’à l’extérieur, la situation s’aggrave encore.

VOTRE OFFENSIVE ANTI-HIVER

  • Utilisez un gommage doux qui laisse progressivement les jambes satinées et souples.
  • Remplacez le bain ou le gel moussant par une huile nettoyante, qui déshydrate moins la peau et la soigne. Mais attention aux glissades !
  • En hiver, un lait de corps bien hydratant devient un luxe indispensable.

Un plumeau sur la tête

QUELS SOUCIS ?

En hiver, les cheveux souffrent aussi : plus secs, plus électriques… Et comme vous ne pouvez pas garder constamment le bonnet sur la tête, mieux vaut prévoir un bon traitement.

VOTRE OFFENSIVE ANTI-HIVER

 Les remèdes anti-sécheresse, ce sont des shampooings extra-nourrissants, des après-shampooings et des masques hydratants. Ils veillent à rétablir un taux d’humidité correct.

A la recherche de mains toutes douces

QUELS SOUCIS ?

Entre les températures polaires et les nombreux lavages, les mains s’abîment vite. Plus grave :  vous risquez des engelures aux mains et aux pieds.

VOTRE OFFENSIVE ANTI-HIVER

  • Portez des gants le plus souvent possible et, avant de les enfiler, appliquez une mince couche de crème.
  • Le soir, posez une dose de crème plus généreuse pour réhydrater l’épiderme.
  • Prévenez les engelures des mains et des pieds en les habillant chaudement, tout en veillant à ce que les chaussures et les gants ne soient pas trop serrés. Pratiquez la douche écossaise (eau chaude et eau froide en alternance) afin de doper la circulation sanguine.
  • Ne faites plus aucune vaisselle sans gants en caoutchouc. C’est peu élégant mais souverain pour les mains car l’eau et le savon sont particulièrement agressifs.

Petites peaux sur les lèvres ?

QUELS SOUCIS ?

Les lèvres déshydratées présentent des petites peaux, très douloureuses quand elles s’arrachent. Et si peu esthétiques ! N’oubliez pas de les protéger des rayons UV car ce sont des zones très sensibles.

VOTRE OFFENSIVE ANTI-HIVER

  • Première étape : ne mordillez surtout pas les petites peaux ! Sinon, vous allez vous retrouver avec des crevasses douloureuses et difficiles à guérir en hiver. Pour les éliminer, utilisez un gommage doux pour le visage.
  • Lubrifiez, lubrifiez, lubrifiez ! Comme les lèvres ne disposent pas de glandes sudoripares et peu de glandes sébacées, elles réclament de vrais soins afin de ne pas se déshydrater. Employez un baume en couche épaisse et ce, très régulièrement. Ainsi, les lèvres resteront souples et saines.
  • Même la bouche a droit à un masque de nuit. Appliquez une bonne dose de baume et laissez agir pendant que vous dormez. Le lendemain matin, vous voilà avec un superbe sourire…
  • Evitez certains rouges à lèvres qui aggravent la situation. Tels les « longues tenues ». Trop accro à leurs belles couleurs ? Posez alors un baume au-dessus du rouge ou optez pour un gloss, à la texture plus grasse.
  • Au ski, protégez et soignez vos lèvres avec un stick à filtre UV élevé. Une inflammation ou une brûlure de la bouche est très inconfortable et engendre d’importantes douleurs.

HYPERTENSION

22 décembre 2020


Il y a, bien sûr, le traitement prescrit par le médecin, destiné à obtenir une tension inférieure à 14/9 cm de Hg. Afin de doper son efficacité, il existe aussi d’autres bonnes habitudes à acquérir… et à conserver toute sa vie.

La tension artérielle correspond à la pression régnant dans les artères lors, d’une part, de la contraction du cœur et pendant, d’autre part, la phase de relaxation cardiaque. Deux activités, donc deux chiffres exprimés en centimètres de mercure (ou parfois en millimètres). La contraction cardiaque est appelée systole ; la tension systolique correspond au chiffre plus élevé. La phase de repos se nomme la diastole ; la tension diastolique, c’est le chiffre le plus petit. L’hypertension est diagnostiquée, chez une personne au repos, quand la pression systolique est régulièrement supérieure à 14 centimètres de mercure et la pression diastolique supérieure à 9 centimètres de mercure (Hg), soit 14/9. Néanmoins, il n’existe pas de valeur seuil à partir de laquelle le risque augmente nettement.

Qui est concerné ?

Environ 10 % des Belges sont diagnostiqués hyper-tendus, mais on estime que plus du double (22 %) en souffre. Or, 30 % des moins de 50 ans n’ont jamais ou très rarement mesuré leur tension artérielle. D’après les prévisions, 3 millions de Belges pourraient en souffrir en 2025.

Chacun devrait la connaître

Si on l’appelle « le tueur silencieux », c’est parce que les symptômes d’une tension trop élevée ne sont pas spécifiques : ce sont des bourdonnements d’oreilles, des vertiges, des maux de tête, des sensations d’oppression, etc. Des signes trop discrets ou trop vagues : voilà pourquoi l’hypertension demeure la première cause de décès dans le monde alors qu’il existe des solutions simples et des médicaments valables pour y remédier. Ce trouble constitue un facteur de risque dans 60 % des AVC (accident vasculaire cérébral) et dans 50 % des infarctus du myocarde. Chaque année, environ 15 000 décès seraient causés par l’hypertension en Belgique, ce qui en fait la deuxième cause de mortalité après le tabagisme. Néanmoins, une hypertension reste d’autant plus lourde de conséquences lorsqu’elle est associée à d’autres paramètres : un excès de cholestérol ou de glycémie, un surpoids, du tabagisme, du stress, etc. Bref, tout le monde est concerné… et chacun devrait donc connaître les chiffres de sa tension ! Demandez à votre médecin de la prendre régulièrement et au moins une fois par an après 40 ans.

9 moyens simples pour améliorer sa tension

Parfois, même les gestes simples, comme les mouvements de pince entre l’index et le pouce, la prise en main ou le déplacement d’objets lourds, se révèlent compliqués. Voici quelques astuces malines et pratiques dénichées auprès des associations de patients !

  1. Oubliez la salière

Selon la Ligue Cardiologique Belge, « Si l’apport en sel était réduit de moitié dans le monde, environ 2,5 millions de décès dus à un problème cardiaque pourraient être évités chaque année. » Nous consommons en moyenne 9 à 10 g/jour de sel alors que cette consommation ne devrait pas excéder 6 g/jour. Pour y parvenir, bannissez la salière dans la cuisine et surtout à table. Limitez tout ce qui contient du sel ajouté, tels les conserves et les plats cuisinés industriels et optez plutôt pour les produits frais ou surgelés non préparés. Si vous ne pouvez éviter les légumes en conserve, égouttez et rincez-les. Fuyez également les aliments contenant du sel « caché » : potages en sachets, sauces et bouillons en cube, toutes les charcuteries (y compris le jambon), fromages (les plus salés : roquefort, feta, édam, gouda, fromages fondus…), viandes et poissons fumés, etc. Ainsi, 100 g de saucisson sec présentent une teneur en sel de 5 à 6 g ! Pour rehausser les saveurs des menus maison, préférez les épices (herbes de Provence, cumin, thym, etc.), mais méfiez-vous des mélanges (mix pour salade, pour poulet, pour couscous, etc.), de la moutarde et de la sauce soja, qui contiennent encore de belles quantités de sel. N’hésitez pas à décrypter les étiquettes pour connaître la quantité de sel contenue. Même si la majorité des fabricants mentionnent la teneur en sodium (Na) par 100 g d’aliment et non celle en sel ou chlorure de sodium (NaCl). Or, 1g de sodium = 2,5 g de sel.

  1. Virez les cendriers

Le tabagisme reste la bête noire des cardiologues car la nicotine augmente la pression artérielle et le travail cardiaque. Ne vous croyez pas à l’abri si vous ne touchez jamais à une cigarette mais que votre entourage fume à longueur de journée : le tabagisme passif augmente également le risque d’infarctus de 30 %.

  1. Réconciliez-vous avec la balance

L’excès de poids (surpoids ou obésité) reste un facteur mineur, s’il est isolé. En revanche, accompagné d’autres entorses à l’hygiène de vie, il est une cause non négligeable d’hypertension. Bonne nouvelle : il ne faut pas spécialement s’alléger de dizaines de kilos pour réduire le risque. En effet, une perte de 10 % de son poids de départ améliore déjà de nombreux paramètres, tels la tension, le cholestérol, etc.

  1. Bougez

Pas le temps de faire du sport ? Le simple fait de marcher tous les jours pendant au moins 30 minutes, soit d’effectuer 8000 à 10 000 pas, améliore la circulation sanguine. Pour y parvenir, allez au travail à pied ou descendez du bus un arrêt plus tôt, troquez l’ascenseur contre l’escalier, garez votre voiture le plus loin possible… Outre vos baskets, chaussez vos écouteurs : les performances sont meilleures quand elles sont réalisées sur un fond musical.

  1. Faites vœu de silence

Les nuisances sonores liées au travail sont soumises à des réglementations très strictes. Hélas, pas celles qui restent propres aux loisirs. Et qui, pourtant, ne cessent d’augmenter : concert, écouteurs, circulation, etc. Or, même un bruit intermittent ou semblant supportable fait grimper la tension. Afin d’éviter l’overdose, portez des boules Quies ou bouchons en mousse, qui atténuent d’environ 20 dB l’intensité du son et filtrent les fréquences aiguës. Et offrez des temps de repos absolu à votre ouïe.

  1. Passez au vert

Manger des fruits et des légumes trois fois par jour demeure suffisant pour réduire d’un tiers le risque de mortalité cardiovasculaire ! Outre leurs fibres, certains végétaux sont particulièrement riches en nutriments indispensables à la fonction cardiaque et à la diminution de la tension artérielle. Le magnésium est également un relaxant musculaire luttant contre le stress. On les retrouve dans les légumes secs (pois chiches, haricots blancs, lentilles…), les bananes, les pommes de terre, les épinards…

  1. Pensez au blanc

Placez trois laitages maigres par jour au menu. En effet, un gramme de calcium quotidien aiderait à maintenir les parois artérielles souples. L’ennui, c’est que les fromages sont souvent riches en graisses animales, déconseillées en cas de surpoids et d’hyper-cholestérolémie. La parade ? Les laits d’oléagineux (amande, noisette, etc.), naturellement riches en calcium, ou les laits de soja et/ou de riz enrichis en ce nutriment. Mais également les eaux riches en calcium, histoire de faire le plein pour 0 calorie.

  1. Relaxez-vous

La contemplation d’un aquarium rempli de poissons pacifiques diminue progressivement la pression sanguine et le rythme cardiaque. Des constatations mises en évidence par Aaron Katcher, un professeur américain, auprès de personnes normo-tendues et hypertendues. Même si le stress n’est pas à l’origine de l’hypertension, il aggrave toujours la situation. Vingt minutes de relaxation par jour améliorent nettement cette mesure. Ne reste plus qu’à choisir entre le yoga, la sophrologie, l’hypnose…

  1. L’alcool… avec modération

A partir de 3 verres par jour pour les femmes et de 3 à 5 verres pour les hommes, le risque d’hypertension est doublé.

Sources des chiffres et sites :
Ligue Cardiologique Belge, http://liguecardiologique.be
Comité Belge de lutte contre l’hypertension, http://pressionarterielle.be   

VACCINS ANTIGRIPPE ET RESTRICTIONS DE DÉLIVRANCE

03 novembre 2020

La pandémie de COVID-19 a fait augmenter le nombre de demandes pour le vaccin antigrippe. Malheureusement, la quantité de vaccins disponible n'est pas suffisante pour répondre à toute la demande.

Des nouvelles directives pratiques concernant la délivrance des vaccins antigrippe nous sont donc parvenues aujourd'hui. En effet, les autorités ont décidé de réserver les vaccins antigrippaux en priorité aux patients à risque et aux personnes avec qui ils sont en contact direct.

Les patients prioritaires actuellement sont:

- Les femmes enceintes;

- Les patients atteints de maladies chroniques (pulmonaires, cardiaques - sauf hypertension, rénales, hépatiques, neuromusculaires, immunitaires, diabète) et/ou obésité (BMI>35);

- Les personnes âgées de plus de 65 ans;

- Les personnes séjournant en institution;

- Les enfants de 6 mois à 18 ans compris sous thérapie à l’aspirine au long cours.

Le personnel de santé et les personnes vivant sous le même toit que les patients mentionnés ci-dessus auront également droit au vaccin dans cette première phase.

Cependant, et contrairement aux informations reçues auparavant, les personnes en bonne santé ayant entre 50 et 65 ans ne sont plus prioritaires et n'ont donc pas accès au vaccin antigrippe dans la première phase de vaccination. Une réévaluation sera effectuée au mois de décembre afin de savoir si des vaccins sont encore disponibles pour cette population.

Nous sommes tenus de respecter les directives reçues, et nous sommes désolés pour le désagrément occasionné, totalement indépendant de notre volonté.

Note: Les mesures mises en place par le gouvernement afin de freiner la COVID-19 auront également un impact sur la prévention de la grippe saisonnière. Il est donc d'autant plus important de garder les gestes barrières, et de stimuler votre immunité (vitamine D, vitamine C, zinc ...) afin de prévenir l'apparition de cette maladie virale.

Votre pharmacien et son équipe officinale, toujours au service de votre santé.

CORONALERT

30 septembre 2020

Coronalert, on a téléchargé l’appli ! Et vous ?

Coronalert peut vous aider ainsi que tous vos proche et elle est bien plus respectueuse de la vie privée que le tracing manuel.

N’hésitez donc pas à rejoindre la communauté pour nous protéger les uns les autres !

Plus d’info ici : https://coronalert.be/fr/

13 ASTUCES UTILES…

01 septembre 2020

… POUR ÊTRE ZEN AU BUREAU

Voici peu, vos seules sources de tension étaient : Mojito ou Pina Colada ? Bronzette pile ou face ? Et là, vous voilà de retour au boulot, à plonger davantage dans les dossiers et entretiens à préparer… C’est le bon moment d’acquérir des habitudes sereines avant que le stress ne vous débronze en deux temps trois mouvements.

1. Prévoyez l’imprévu

Des plannings bien élaborés, c’est excellent pour s’organiser, y voir clair et parvenir à tout boucler à l’heure. Inversement, des to-do list longues, c’est minant. Afin d’avancer, alternez des tâches aux résultats immédiatement visibles (par exemple, vider sa boîte mail, écrire un courrier…) et d’autres exigeant un travail de longue haleine (un gros dossier à mettre en route). Etablissez aussi un rétroplanning, en notant ce que vous devez absolument avoir terminé endéans tel délai. Sans oublier d’y glisser des temps vides si une réunion déborde, si un embouteillage vous prend en otage, etc.

2. Fermez-la

Ne gardez pas votre boîte mail ouverte en permanence. Ouvrez-la uniquement toutes les 2 ou 3 heures et consacrez-vous entièrement à cette tâche (avec réponse et classement immédiats).

3. Repérez les tics « bouffeurs de temps »

Tels vérifier constamment son GSM, passer « juste quelques minutes » sur Facebook, descendre voir une collègue, passer à la machine à crasses… Ni bon pour les hanches, ni pour la concentration !

4. Adoptez des boules

Les espaces paysagers se sont multipliés dans les sociétés : parfait pour la communication mais pas pour la concentration ! Le bruit de fond permanent provoque une perte d’efficacité ainsi qu’un épuisement nerveux et physique. Le prix du silence ? Environ 5 € pour des boules Quies qui filtrent les sons, sans vous couper du monde.

5. Osez dire non

Le plus compliqué, c’est de refuser un surplus de travail sans se sentir coupable de fainéantise. Ne répondez pas « oui » tout de suite, ce qui peut provoquer une frustration et donc de l’agressivité. Réfléchir avant d’accepter, c’est souvent apprendre à dire « non » ! Entraînez-vous à prononcer poliment et fermement certaines phrases-clefs, telles : « Cela ne fait pas partie de mes compétences ou de mes attributions. J’en suis désolée. »

6. Prenez du recul

Votre boss est particulièrement hargneux aujourd’hui ? Rien ne dit que vous en êtes la cause. Il s’est peut-être levé du mauvais pied… ou vous reproche effectivement des éléments concrets : avant de vous emballer dans des interprétations erronées et autodestructrices, demandez un entretien afin d’éclaircir les faits.

7. Gardez la banane

Quand vous êtes confronté à des stress répétés, les réserves de magnésium s’épuisent. Ce qui aggrave l’anxiété et la nervosité, entraîne des douleurs musculaires, etc. Augmentez son absorption via le pain complet, les céréales, le chocolat noir, les bananes, les fruits secs (amandes, noisettes...), les légumes secs... Ou un supplément bien dosé, disponible en pharmacie.

8. Evacuez la pression

C’est compliqué de se placer incognito dans la position de la chandelle pour souffler. En revanche, on peut prévoir le planning, à pratiquer sans quitter son PC, pour retrouver illico la sérénité du Dalaï-Lama : placez la paume des mains sur chaque œil et fermez les doigts afin de vous retrouver dans une obscurité totale. Effectuez ce geste durant quelques minutes, aussi souvent que nécessaire.

9. Profitez mieux de vos pauses

Quelques minutes pour souffler ? Plutôt que de rester scotché à la machine à café, bougez-vous ! Marchez quelques pas, descendez un escalier, aérez-vous près d’une fenêtre voire prévoyez un tour à l’extérieur. L’un des carburants principaux du cerveau, c’est l’oxygène !

10. Misez sur vos rythmes biologiques

C’est physiologique : on est au top intellectuel et physique 2 h 30 après le repas. Donc généralement vers 10 heures et 15 heures. Programmez, pendant ces tranches horaires, des travaux d’étude, de mémorisation, de réflexion… Entre 13 et 15 heures, que l’on mange un lunch complet ou que l’on grignote une pomme, l’après-midi commence au ralenti : on pique du nez sur son ordinateur. Si la sieste n’est pas inscrite dans le règlement du bureau, prévoyez des activités ne nécessitant pas de gros efforts intellectuels : rangement, classement des mails, etc.

11. Bâillez

Ce réflexe respiratoire, facile à réaliser (commencez le geste, il se termine automatiquement par un « vrai » bâillement), fournit une détente immédiate et peu onéreuse tout en dopant les neurones. Le seul risque ? Le bâillement étant terriblement contagieux, attendez-vous à une épidémie rapide chez tous vos collègues.

12. Respirez…

avec tous vos poumons

En mode tendu, on halète superficiellement. Ce qui reste peu profitable pour l’organisme. La bonne respiration : confortablement assis, inspirez profondément en gonflant l’abdomen. Puis relâchez doucement, régulièrement et complètement, comme si vous souffliez dans une paille. Une respiration pleine et consciente apaise les crispations des muscles et des neurones.

13. Enfilez-vous des granules

Michèle Boiron, pharmacienne homéopathe explique : « L’homéopathie peut être conseillée en première intention, face à des troubles anxieux, ou pour faciliter le sevrage de médicaments. Si le stress vous rend amorphe : gelsenium.
Pour les excités : argentum nitricum et pour les hypersensibles qui passent du rire aux larmes : ignatia. »