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MALADIES RHUMATISMALES …

01 septembre 2020

... PAS QUE CHEZ LES SENIORS !

Les maladies rhumatismales … Tout le monde est concerné

Les jeunes parce que certaines formes de ces affections inflammatoires surgissent dès la vingtaine. Et les moins jeunes, car on peut agir à tout âge pour freiner leurs effets.
Trois millions d’Européens, dont 2 % de Belges, sont atteints de maladies rhumatismales. Soit des affections chroniques inflammatoires entraînant, lorsqu’elles ne sont pas traitées, des déformations croissantes des articulations, des douleurs fréquentes et une invalidité importante (si les doigts ou les genoux sont touchés).
Chacun des cartilages peut être touché : cervicales, épaules, hanches, poignets, genoux, pieds… Progressive, l’évolution s’étale sur des dizaines d’années. Hélas ! les premières manifestations ne sont pas toujours significatives, faisant davantage penser à des attaques virales. Ce qui retarde la consultation chez le rhumatologue et donc le diagnostic. Or, plus ce dernier est précoce, plus on observe de rémission, plus on parvient à prévenir les complications…

Sauvez les cartilages !

Les symptômes apparaissent de manière symétrique, au niveau des poignets, des mains et des pieds : ce sont des douleurs, des gonflements et des raideurs. Ils sont essentiellement présents le matin et provoquent parfois des réveils nocturnes. Si les médicaments sont prescrits dès les premières crises et avant l’apparition des lésions, s’ils sont administrés sur une longue période, ils atténuent fortement la douleur et préviennent la déformation des articulations. En revanche, quand l’inflammation n’est pas soignée, le cartilage de l’articulation et de l’os se détruit progressivement. Au fil du temps, la capsule articulaire se distend et les tendons se déplacent, provoquant d’invalidantes déformations.

Des antalgiques à la chirurgie

Bien que la prise d’antidouleurs et d’anti-inflammatoires soit tentante, elle doit néanmoins se réaliser sous suivi médical, vu l’intensité de leurs effets secondaires. Restent encore d’autres formules, réservées aux formes sévères : les anti-TNF, fabriqués par biotechnologie, traitent les symptômes et préviennent la destruction des articulations. Ultime recours : la chirurgie de l’arthrose permet le remplacement des articulations altérées par des prothèses. Elle fournit d’excellents résultats… lesquels restent limités dans le temps : entre 10 à 15 ans. Et une nouvelle intervention, au même endroit, demeure toujours plus compliquée à réussir techniquement. Et demain ? Tous les espoirs sont permis du côté des greffes de cellules formant et régénérant le cartilage. En attendant, la maladie ne se guérit pas encore.

Tout le monde debout !

Au fil du temps et sans thérapie, des gestes élémentaires pour Madame et Monsieur Tout-le-Monde deviennent plus compliqués à accomplir : s’accroupir, soulever une charge, peler un fruit ou un légume, se tenir dans les transports en commun, ouvrir une brique de lait… Non seulement ces manifestations sont invisibles (on ne semble pas malade), mais elles sont également cycliques. Un jour, on parvient à réaliser certains actes ; le lendemain, ces mêmes mouvements demeurent impossibles à répéter. Ce qui entraine de l’incompréhension de la part des tiers. L’activité physique régulière (à programmer en dehors des poussées inflammatoires) favorise la mobilisation du squelette. Inutile de viser les Jeux olympiques : une marche quotidienne, de la natation (en piscine chauffée), du vélo (qui « porte » le poids du corps et donc soulage les articulations), du yoga (qui favorise la souplesse) suffisent amplement. La kinésithérapie (et, mieux, celle réalisée en milieu aquatique) réduit les douleurs et privilégie la mobilité douce des mouvements. Bénéfice non négligeable : l’effort libère les endorphines et la sérotonine, des hormones favorisant l’euphorie et réduisant la souffrance.

Petits aménagements pour grands effets

Lorsqu’on souffre d’articulations douloureuses et moins mobiles, le quotidien exige une bonne dose de créativité. Et ce, notamment pour compenser les gestes devenus impossibles et favoriser l’autonomie. Les ergothérapeutes et les associations de patients fournissent des conseils judicieux. Tels que l’usage d’un casse-noix pour ouvrir une bouteille ou le choix d’un allume-gaz plutôt que des allumettes. Ils conseillent éventuellement le port d’orthèses, une contention qui, en immobilisant les articulations, soulage et prévient les déformations. Enfin, il existe de nombreuses aides techniques, disponibles dans les commerces spécialisés, etc.

Des astuces à partager

Parfois, même les gestes simples, comme les mouvements de pince entre l’index et le pouce, la prise en main ou le déplacement d’objets lourds, se révèlent compliqués. Voici quelques astuces malines et pratiques dénichées auprès des associations de patients !

  1. Tous les ciseaux font mal aux mains souffrant de rhumatismes. Utilisez, si possible, du matériel électrique ou des couteaux à roulette (comme pour découper les pizzas).
  2. Remplacez les boutons de porte à tourner par des poignées à abaisser, de grande taille.
  3. Entourez les manches des couverts d’un tube en mousse antidérapant (utilisé pour l’isolation du chauffage) afin de les rendre plus faciles à saisir.
  4. Utilisez un panier de cuisson pour éviter de transporter des casseroles trop lourdes. Vous ne soulevez alors que le panier rempli de légumes ou de poisson, et non pas toute la casserole (encore plus lourde si remplie d’eau).
  5. Pensez à une multiprise avec interrupteur qui coupe l’électricité sans devoir retirer la prise.
  6. Optez pour une brosse à dents électrique qui possède un manche plus gros.
  7. Choisissez le dentifrice en distributeur ou utilisez un presse-tube fixé au mur.
  8. Comme les pots à médicaments sont souvent compliqués à ouvrir, demandez au pharmacien de les transvaser dans des boîtes en carton.

Sources : Apprendre les bons gestes, apprivoiser les aides techniques, les arthrites inflammatoires, Collection les Guides pratiques visuels, vivre au quotidien, éditions Vivio – informations CLAIR* : www.clair.be.
*CLAIR, soit la Confédération de Lutte contre les Affections Inflammatoires Rhumatismales, regroupe de nombreuses associations de patients en Wallonie. Côté néerlandophone, Reumanet réunit les associations de victimes de rhumatismes. Leur objectif est de fournir des informations, de créer une chaîne de solidarité entre les personnes concernées, de sensibiliser le monde médical, de faire mieux connaître ces pathologies encore mystérieuses au grand public mais aussi aux instances politiques. Et ce, afin d’améliorer la reconnaissance et la prise en charge de ces troubles souvent invalidants…

COVID-19 INFO

12 mai 2020

Comment utiliser un masque chirurgical ?

Le port du masque en tissu protège avant tout votre environnement particulièrement si vous êtes infecté. Portez le masque uniquement lorsque c’est obligatoire (par exemple dans les transports en commun) ou nécessaire (par exemple si le maintien d’une distance physique suffisante ne peut être garanti, en cas de contact avec des personnes fragiles ou, si vous êtes malade, en présence d’autres personnes).

X : N’utilisez PAS le masque chirurgical comme moyen pour vous protéger si
vous devez vous approchez ou soignez une personne infectée.

Comment mettre et enlever le masque ?

  • Lavez-vous soigneusement les mains à l’eau et au savon avant de toucher le masque. Si vous ne pouvez pas vous laver les mains, désinfectez-les.
  • Vérifiez si le masque est en bon état. S’il présente des taches ou des trous, jetez-le immédiatement dans une poubelle fermée.
  • Tenez-le masque avec la partie métallique ou rigide vers le haut et la face intérieure (blanche) vers vous. Placez le masque contre le nez, la bouche et le menton et pincez la partie rigide sur le nez pour l’ajuster.
  • Étirez le masque de manière qu'il couvre et s’ajuste correctement à votre nez et votre menton (pas d'espace entre le masque et le visage).
  • Une fois que vous avez mis le masque, évitez de le toucher.
  • Si le masque glisse ou n'est pas bien attaché, touchez uniquement les côtés ou les attaches pour l’ajuster ou l’attacher à nouveau. Lavez-vous ou désinfectez-vous les mains ensuite.
  • Retirez le masque en le prenant par les élastiques ou les cordons, sans toucher l’extérieur du masque. Jetez les masques usagés dans une poubelle fermée.
  • Lavez-vous ensuite soigneusement les mains.
  • Portez un même masque au maximum pendant 8 heures. Remplacez-le plus rapidement s’il est humide ou sale.

Si vous souhaitez momentanément retirer le masque :

O : Laissez-le pendre à une oreille ou conservez-le dans un endroit propre, extérieur du masque vers le haut, ou dans un sachet en papier (une enveloppe par exemple), réservé à votre usage.

X :  Ne le mettez pas dans votre poche ou votre sac à main.

! : Évitez de retirer et de remettre le masque trop souvent. Ne portez jamais le masque sous votre nez ou sous votre menton (! Risque de contamination !)

COVID-19 INFO

12 mai 2020

Comment utiliser un masque en tissu ?

Le port du masque en tissu protège avant tout votre environnement. Portez le masque uniquement lorsque c’est obligatoire (par exemple dans les transports en commun) ou nécessaire (par exemple si le maintien d’une distance physique suffisante ne peut être garanti, en cas de contact avec des personnes fragiles ou, si vous êtes malade, en présence d’autres personnes).

X N’utilisez PAS le masque en tissu comme moyen pour vous protéger si vous devez vous approchez ou soignez une personne infectée

Comment mettre et enlever le masque ?

  • Lavez-vous soigneusement les mains à l’eau et au savon avant de toucher le masque. Si vous ne pouvez pas vous laver les mains, désinfectez-les.
  • Prenez le masque par les élastiques ou les cordons.
  • Placez le masque sur le visage en veillant à ce qu'il couvre et s’ajuste correctement à votre nez et votre menton (pas d'espace entre le masque et le visage).
  • Une fois que vous avez mis le masque, évitez de le toucher.
  • Si le masque glisse ou n'est pas bien attaché, touchez uniquement les côtés ou les attaches pour l’ajuster ou l’attacher à nouveau. Lavez-vous ou désinfectez-vous les mains ensuite.
  • Retirez le masque en le prenant par les élastiques ou les cordons, sans toucher l’extérieur du masque. Lavez-vous ensuite soigneusement les mains.
  • Portez un même masque au maximum pendant 8 heures. Remplacez-le plus rapidement s’il est humide ou sale.

Si vous souhaitez momentanément retirer le masque, par exemple pour boire :

O : Conservez-le dans un endroit propre, extérieur du masque vers le haut, ou dans un sachet en papier (une enveloppe par exemple), réservé à votre usage.

X : Ne le mettez pas dans votre poche ou votre sac à main.

! : Lorsque vous remettez le masque, veillez à ne pas confondre l’intérieur et l’extérieur.

  • Évitez de retirer et de remettre le masque trop souvent. Ne portez jamais le masque sous votre nez ou sous votre menton (! risque de contamination !).

Comment laver le masque ?

  • Changez de masque toutes les 8 heures ou toutes les 4 heures en cas d’usage intensif (par exemple pour un professeur qui donne cours) ou plus rapidement s’il est humide ou sale.
  • Le masque doit être lavé après chaque usage.
  • Un filtre supplémentaire peut être placé entre les couches de tissu de certains masques. Jetez les filtres non lavables à la poubelle après usage. Si vous utilisez un filtre lavable, voir ci-dessous les recommandations de lavage.
  • Lavez le masque à la machine à 60°C avec du savon, avec le reste du linge. Vous pouvez également le faire bouillir avec du savon dans une casserole réservée à cet usage. Si vous lavez le masque à plus basse température, par exemple à la main, vous devez alors le repasser à une température élevée.
  • Repasser le masque ou le passer au séchoir n’est pas suffisant ! Cela ne remplace pas le lavage.
  • Si vous avez touché un masque sale, par exemple pour le mettre dans la machine à laver, lavez-vous soigneusement les mains ensuite.
  • Le masque doit être tout à fait sec avant d’être réutilisé. Il est donc recommandé d’avoir au moins deux masques.

Si vous utilisez un filtre lavable :

  • Lavez de préférence le filtre en le laissant dans le masque pour éviter d’être en contact avec d’éventuels virus présents dans le filtre.
  • Lavez le filtre après chaque jour d’utilisation.
  • Laissez de préférence le filtre sécher à l’air libre ou faites-le sécher au séchoir.
  • Attention : les filtres sensibles à la chaleur ne doivent pas être repassés ou bouillis ! Ils pourraient fondre.

Comment conserver le masque ?

  • Ne laissez pas traîner vos masques n’importe où. Choisissez un endroit propre que vous utiliserez pour conserver les masques usagés, de préférence dans un sac en tissu fermé que vous pourrez laver en même temps que les masques.
  • Lavez-vous toujours les mains avant de toucher un masque propre et ne touchez pas l’intérieur du masque.

X : Ne mettez pas votre masque dans le frigo ou le congélateur. Le froid ne tue pas le virus et vous risquez de contaminer vos aliments.

COVID-19 INFO

11 avril 2020

Quels sont les symptômes du COVID-19 ?

Principaux symptômes du COVI-19 = ++      
Symptômes présents dans certains cas = +

Remarque : Certaines personnes atteintes par le COVID-19 ne développent pas de symptômes)

Si vous présentez des symptômes de la maladie, téléphonez à votre médecin et restez chez vous.
Ne vous rendez pas à la pharmacie mais envoyez un proche.
En cas d’impossibilité, contactez la pharmacie au n° 02 512 63 97, nous vous ferons déposer les médicaments et nous sonnerons ou enverrons un SMS lors du dépôt devant votre porte

Votre médecin peut vous envoyer les prescriptions électroniques par e-mail.

Votre Pharmacien Dynaphar 

COVID-19 INFO

10 avril 2020

Pour consulter la disponibilité dans notre pharmacie des articles le plus souvent en pénurie dans le cadre de la pandémie du Coronavirus, cliquez ici

 

COVID-19 INFO

03 avril 2020

Ne faites pas de stocks de médicaments ! 

Etat grippal et fièvre ?  

Pour faire baisser la fièvre et combattre la douleur, préférez le paracétamol. 
Pas de paracétamol disponible ? Dans la plupart des cas, les autres antidouleurs courants peuvent constituer une alternative sûre, surtout pour les personnes qui n’ont pas de problème de santé chronique.

Vous hésitez quant à l’antidouleur le plus indiqué pour vous ?

Prenez contact par téléphone avec votre pharmacien ou votre médecin. Ils pourront vous conseiller en fonction de votre état de santé.

Ne faites pas de stock

L’accès aux médicaments doit être garanti pour tous.
Merci de limiter vos achats d’antidouleurs à une seule boîte par personne. 

Conseil important

N’interrompez jamais votre traitement sans avis médical !

SECRETS MINCEUR POUR S'ALLEGER EN DOUCEUR

29 février 2020

Finis les poissons pochés et poireaux vapeur ! Pour perdre du poids, on mise sur des comportements différents destinés à nous déstresser et retrouver le plaisir des sens.

 

Manger en pleine conscience

 

Une nouvelle approche ? Plutôt une manière naturelle de se nourrir, qu'à force de régimes multiples et d'a priori saboteurs, on a fini par oublier. Soit, manger uniquement lorsqu'on a faim, mâcher lentement en analysant ses impressions et reposer ses couverts dès la satiété. La pleine conscience, c'est une thérapie validée par les scientifiques, qui nous apprend à observer avec tous nos sens, nos besoins, nos émotions, nos pensées et ce, afin de les satisfaire le plus justement possible. Rassurez-vous, la pratique est plus simple que la théorie ! Ici, on mange de tout, plus lentement, en moindre quantité mais avec beaucoup plus de plaisir. En pratique ? Avant de porter la fourchette en bouche, observez bien vos aliments : leur couleur, leur forme, leur texture, leur disposition… ce qui participe aussi à l'acquisition de la satiété. Prenez exemple sur les Japonais qui réalisent de véritables œuvres d'art dans leur assiette, laquelle contient en fait très peu de nourriture. Mangez "en pleine conscience", sans parler, lire ou regarder la télévision, en tentant de décrypter chaque saveur et texture…
 

• Info : Groupe de réflexion sur l'obésité et le surpoids, www.gros.org (uniquement en français)

 

Des granules pour soutenir les efforts
 

L'homéopathie ne va pas suffire pour perdre du poids de manière efficace et durable mais elle peut booster la motivation, réduire le stress qui engendre une compulsion pour les aliments sucrés, estomper les envies de grignotages et favoriser l'élimination… Cette médecine douce sans effets secondaires est d'autant plus efficace lorsqu'elle est personnalisée : le praticien étudie alors la cause des soucis, la personnalité de chacun, les habitudes alimentaires. En effet, il n’existe aucune prescription simple, facile, universelle… car trop de facteurs influencent le surpoids. Consultez un médecin homéopathe ou demandez conseil à votre pharmacien.
 

• Info: Unio Homeoepathica Belgica, www.homeopathy.be.

 

L’hypnose, on déprogramme les mauvaises habitudes
 

Plonger dans un "état modifié de conscience" est simple : on le fait plusieurs fois par jour quand on est passionné par un bouquin ou dans ses rêves… au point d’oublier tout ce qui nous entoure. En séance, l’hypnothérapeute provoque cette situation en émettant des suggestions d'une voix ferme et douce. Quant à l’autohypnose, elle permet de se placer soi-même dans cet état (après un mini-apprentissage). Pour améliorer les soucis de poids, cette discipline permet de reconnaître une vraie faim et de se relaxer sans plonger dans le frigo... Elle apprend aussi à transformer les suggestions négatives en énergie positive. En effet, les pensées et les mots ont un énorme pouvoir émotionnel : aborder le régime comme une lutte contre les frites et le chocolat semble déjà insurmontable. Alors que gagner en légèreté reste nettement plus enviable !

 

L’acupuncture, la force des aiguilles
 

Selon les Orientaux, les dysfonctions surgissent lorsque les énergies internes (les QI) ne circulent plus correctement dans notre corps. Le but de l'acupuncture est donc de rétablir un cheminement normal de ces énergies à travers les méridiens, lesquels sont des lignes virtuelles correspondant à des organes (foie, rate, estomac, reins, cœur…) ou à des fonctions (digestives, respiratoires…). Le médecin place de fines aiguilles de 3 à 4 millimètres sous la peau, afin de corriger les déséquilibres énergétiques des différents éléments impliqués dans la prise de poids et dans le stress. Cette thérapie régule l'appétit, dope l'élimination et réveille les fonctions digestives…
 

• Info : Association Belge des Médecins Acupuncteurs (ABMA), www.acupuncture.be et www.acupunctuur.be.

 

Les plantes sous toutes les formes
 

La phytothérapie est utilisée depuis longtemps sous forme d'infusions, de gélules, d'extraits… Certaines plantes sont adaptées à la minceur par leurs actions drainantes, antistockage, anti-ballonnement, rassasiantes… La gemmothérapie utilise les bourgeons, les jeunes pousses et l'écorce des racines des arbres. Ces éléments, notamment lorsqu'ils proviennent du bouleau et du tilleul, ont des qualités dépuratives et diurétiques reconnues… depuis l'invention des régimes !

 

Avec ou sans régime ?
 

La grande question reste : "Ces approches douces demeurent suffisantes pour l’envol des kilos ?" Certains praticiens recommandent également de limiter les apports énergétiques et fournissent des plans nutritionnels. Pour d’autres, écouter son corps permet d’office de réduire les portions et d'éliminer le besoin de se gaver de sucreries.

BATTERIE À PLAT ? ET SI C’ÉTAIT LE BURN-OUT ?

29 février 2020

« To burn out » signifie « se consumer ». Mentalement, physiquement. Cet état de souffrance lié au milieu professionnel impacte particulièrement les quinquas. Surcharge de travail, objectifs irréalisables, manque de reconnaissance, stress. Le craquage est imminent ? Posez-vous !

Sommes-nous nombreux à souffrir de burn-out en Belgique ? D’après l’INAMI, près de 80.000 personnes ont ce sentiment d’être à bout de force, et les cas ont doublé depuis 2007… L’Agence européenne pour la santé et la sécurité au travail dresse un même constat : le stress serait en effet le deuxième problème de santé le plus répandu dans le monde du travail. C’est dire si cette maladie psychosociale est devenue un problème de santé publique majeur ! Tant, qu’en avril 2014, apparaissait au Moniteur belge une nouvelle loi relative à la notion de demande d’intervention psychosociale individuelle, comprenez le « burn-out », qui invite d’ailleurs les patrons à réfléchir aux conditions de stress au travail. Mais au fait, comment savoir si on est en burn-out ?

Méfiez-vous des premiers signes ...

D’emblée une petite mise au point : la dépression est un trouble de l'humeur, le burn-out, une forme aigüe de surmenage lié (principalement) au travail. Il existe des signes physiologiques facilement identifiables qui doivent vous alerter d’un craquage imminent. Le premier, c’est une fatigue intense, une incapacité à l’effort, un réel sentiment d’épuisement à la fin de la journée, jusqu’à ce matin où même s’habiller devient trop pénible ! Le corps dit stop ! La mémoire aussi ‘bug’ : le stress augmente en effet la production de cortisol, l’hormone du stress, qui est nocive pour l’hippocampe, le chef d’orchestre du cerveau. D’autres symptômes (on en a relevé 176 !) devraient également vous alarmer : maux de tête, de dos, douleurs musculaires, problèmes de digestion, irritation, anxiété, dépression, etc. Le traitement du burn-out passe le plus souvent par un arrêt de travail, entre six mois et un an, avant une réinsertion professionnelle si possible progressive (passer à 4/5, apprendre à déléguer, etc.). Sans arrêt de travail, vous prenez le risque d’entrer dans un cercle vicieux de fatigue chronique – méfiance !

Les quinquas moins solides ?

A 50 ans, le corps commence à peiner, le cerveau à « bugger » - on vous rassure, on est tous dans la même galère ! Même en s’imposant une vraie hygiène de vie (sport, pas ou peu d’excès…), on récupère plus lentement en vieillissant, on est plus sensible au stress, aux décalages horaires, aux incessants voyages d’affaires. Être quinqua aujourd’hui en Belgique, c’est avoir traversé un demi-siècle en sachant qu’il faudra travailler toujours plus longtemps, sans pouvoir lever le pied. Faut-il rappeler qu’en 2025 la pension sera relevée à 66 ans ? Si on en croit le BeSwic, le Centre de connaissance belge sur le bien-être au travail, « tout porte à croire que le travail a un effet positif pour la santé physique et mentale, à condition de bénéficier de conditions de travail adéquates. » Bref, dans un monde idéal, il faudrait être bien sur son lieu de travail même après 50 ans. Dans un monde idéal…

Le modèle de la performance pointé du doigt !

Le burn-out ? « Un épuisement résultant du manque (prolongé) de réciprocité entre l’investissement et ce qui est reçu en retour. Cet épuisement a un impact sur le contrôle des émotions et des cognitions, ce qui provoque aussi des changements dans les comportements et les attitudes (prise de distance), et résulte en un sentiment d’inefficacité professionnelle », c’est le Conseil Supérieur de la Santé belge qui l’affirme avant d’ajouter : « il faudrait d’abord réfléchir à un changement dans le modèle de société (modèle de la performance), auquel le burn-out est largement lié. » 

Mieux vaut prévenir que guérir

Dans notre société, personne n’est à l’abri d'un burn-out. Il semblerait même que les plus performants soient les plus vulnérables. Traduction : les plus perfectionnistes, les plus surinvestis dans leur travail risquent en effet de voir la corde casser à tout moment. Comment gérez-vous le manque de reconnaissance dont vous êtes peut-être victime, vos conditions de travail difficiles, les restructurations permanentes dans votre secteur, les jeunes loups qui montent, les nouvelles technologies qui vous échappent ? Posez-vous la question : pourrez-vous garder le même rythme de travail jusqu’à la pension ? Une chose est sûre : pour ne pas craquer, il faut savoir mettre ses limites, savoir dire non ! Et, plus globalement, on vous invite à vous interroger sur les priorités que vous voulez donner à cette deuxième moitié de vie. Avec l’âge, on le sait, l’idéal à réaliser évolue. Quel est (désormais) le vôtre ? Bonne réflexion.

50+ ? PENSEZ CHECK-UP !

07 novembre 2019

Vous pensez être en forme ? Mieux vaut en être vraiment sûr ! A 50 ans, on peut encore retarder l’apparition des pathologies liées à l’âge. Oui, un check-up santé peut vous sauver la vie. Et ce n’est rien de le dire.

Passé 50 ans, retenez ce mot : PRÉVENTION !

Pensez à faire du sport (pour notamment ralentir la sarcopénie, la fonte de la masse musculaire au cours du vieillissement), à manger sainement (moins de sucre, de sel, de mauvaises graisses), à éviter les abus d’alcool, de tabac, de médicaments, à fuir toute situation de stress…
Cependant, adopter une bonne hygiène de vie ne suffira pas (forcément) à éviter la catastrophe. Il faut parfois aller chez le médecin quand… tout va bien !

Sans check-up, comment en effet contrôler votre cholestérol ? Comment connaître l’état de santé de vos artères ? Comment détecter un cancer du côlon ou du sein ? Ou encore, comment évaluer votre santé mentale ?
C’est dire l’importance d’un check-up préventif par votre médecin généraliste ou par un spécialiste pour cerner votre état de santé global et détecter l’une ou l’autre pathologie le plus rapidement possible.

Check-up cardio


Les chiffres avancés par la Ligue Cardiologique Belge devraient vous convaincre de la nécessité d’un bilan cardiologique ! « Les maladies cardiologiques et cérébrovasculaires restent le fléau numéro 1 en Belgique, responsables annuellement de plus du tiers des décès ! » Et d’ajouter : « La liste des facteurs de risque cardiovasculaire est longue et nous ne pouvons rien faire contre certains d’entre eux. C’est le cas de l’hérédité familiale, du vieillissement, de l’appartenance au sexe masculin ou pas, ou encore de la survenue de la ménopause, autant de situations ou événements que nous ne pouvons pas modifier. »
Pouls, tension, auscultation du cœur, bilan biologique lipidique (un dosage du cholestérol global) chez votre médecin généraliste et test à l’effort chez un cardiologue permettront de déceler les problèmes cardiaques les plus courants : insuffisance cardiaque et coronarienne, troubles du rythme et valvulopathie.

Dépistage du risque d’ostéoporose


L’ostéoporose, ce mal qu’on ne ressent pas. Qui peut affirmer avoir eu mal aux os ? Personne ! C’est ce qui rend l’ostéoporose si difficile à diagnostiquer. Pourtant, 1 femme belge ménopausée sur 3 et 1 hom me sur 5, âgés de plus de 50 ans, sont touchés !
On recense en effet en Belgique 80 000 fractures annuelles. Et que dire des complications, traumatismes et séquelles. Là encore les chiffres font peur : « dans le monde, on enregistre une fracture toutes les 20 secondes, soit 1 600 000 fractures du fémur par an. » (Journée Mondiale de l’Ostéoporose).
Un chiffre interpellant ! Ne négligez donc pas l’ostéoporose post-ménopausique et n’oubliez jamais que « qui s’est fracturé, se fracturera à nouveau » ! Là encore, pensez-y : une ostéodensitométrie pour la femme dès 50 ans et l’homme dès 70 ans peut vous sauver la vie. Il s’agira d’évaluer la densité minérale osseuse : si elle est trop faible, le risque de fracture est élevé, il faudra alors initier un traitement préventif.

Check-up oncologique


Le dépistage permet de détecter certains cancers (ou certaines anomalies précancéreuses) longtemps avant l’apparition des premiers symptômes. C’est le cas des cancers du col de l’utérus, du sein, du gros intestin, de la peau, de la prostate.
Quant au dépistage génétique, il consiste à identifier les mutations génétiques chez une personne qui présente des antécédents familiaux de cancers.
La Fondation contre le Cancer recommande trois dépistages : de 50 à 69 ans, un mammotest tous les deux ans pour dépister le cancer du sein ; un frottis tous les 3 ans jusqu’à 65 ans, et ce après deux frottis normaux à 1 an d’intervalle, pour dépister le cancer du col de l’utérus ; un dépistage systématique par recherche de sang occulte dans les selles à partir de 50 ans et jusqu’à 74 ans pour dépister le cancer du gros intestin, côlon, rectum.

Mieux vaut prévenir que guérir !


UN TEST DE LA VUE

Dès 45 ans, le cristallin perd peu à peu de sa souplesse. En conséquence : on voit moins net de près.

UN TEST AUDITIF

Plus on avance en âge et plus on a des difficultés pour entendre. Le mot savant qui résume cette perte progressive de l’audition liée à l’âge, c’est la presbyacousie.

UN TEST DE LA MÉMOIRE

La maladie d’Alzheimer touche peu de quinquagénaires. Dans le doute cependant, demandez à votre médecin généraliste d’effectuer le test du CODEX. Il dure trois minutes et consiste pour le sujet à répéter et à mémoriser des mots simples.

UNE VISITE CHEZ LE DERMATOLOGUE

Pour évaluer l’évolution des grains de beauté notamment.

UNE VISITE CHEZ LE MÉDECIN GÉNÉRALISTE

Pour les rappels de vaccins que vous auriez négligés.

S.O.S. APRÈS-VACANCES

23 août 2019


Gérez en beauté !

Vous voilà le teint hâlé et les cuisses dorées. Pourtant, la mission estivale n’est pas terminée. Car, après les séances de bronzette, la peau peut devenir aussi sèche qu’un papyrus, accumuler les taches ou les boutons…

Retrouvez l’éclat

Votre bronzage semble plus terne ? Avant d’accuser les néons de la salle de bains, partez à la recherche de votre teint lumineux ! Ce dernier est là, juste caché sous les cellules cutanées plus anciennes, celles qui, en s’accumulant, perturbent la microcirculation et le mécanisme d’hydratation. Afin de les éliminer, misez sur un bon nettoyage associé à un léger gommage.
Optez pour des soins doux, à étaler avec des gestes d’accoucheuse sur le visage mais aussi sur le cou et le décolleté. Ceux-là intensifient le hâle en dopant l’efficacité des actifs appliqués ultérieurement. En revanche, n’attendez pas de miracle : l’exfoliation ne va pas améliorer les irrégularités du bronzage, liées à une concentration plus ou moins importante de mélanocytes.

Chassez le comédon

Si, dès le retour au boulot, vos boutons resurgissent de plus belle (façon de parler…), ne diagnostiquez pas d’office une allergie au travail. Mais une forme d’acné surgissant sur un épiderme mixte et se caractérisant par des microkystes très rapprochés les uns des autres. Elle se limite fréquemment à une joue ou un côté du menton. Son origine est simple : si les rayons solaires assèchent la peau en surface (et donc améliorent la situation), ils provoquent surtout un épaississement de la couche cornée et dopent la sécrétion de sébum.
Quelques semaines après l’exposition, c’est l’effet rebond : le sébum accumulé refait surface et de nouvelles imperfections se forment. Si la situation est sévère ou vous complexe fortement, consultez un dermatologue, qui dispose de thérapies aux résultats rapides, à associer à des cosmétiques anti-comédons. Ceux-là garantissent un parfait nettoyage de l’épiderme (on n’a pas dit décapage, ce qui laisse une impression de peau nette mais entraîne ensuite une production plus importante de sébum) et une bonne hydratation (car les thérapies anti-acné dessèchent le visage).
Ne chipotez pas les boutons, au risque sinon d’aggraver la situation par des taches pigmentées et des cicatrices. Lesquelles sont nettement plus difficiles à estomper…

Hydratez à gogo

Votre peau a sans doute soif après la bronzette. Et ce, qu’elle soit naturellement sèche ou grasse. Pour un boost d’hydratation sur le visage, dirigez-vous vers les sérums dont les formules sont plus concentrées.
Choisissez-les coordonnés à votre crème (contenant alors les mêmes actifs mais plus dosés) ou complémentaires (un sérum hydratant avec un soin régénérant, par exemple). Investissez dans une crème de nuit nourrissante, plus riche, afin de réparer les dégâts des UV pendant votre sommeil. Rincez le tout avec un brumisateur d’eau thermale, moins desséchant que l’eau du robinet. Pour le corps, misez aussi sur des cosmétiques adaptés. Profitez-en ainsi pour vider vos flacons d’après-solaires, car ces produits sont riches en vitamines et en actifs super-hydratants.
L’astuce en plus ? Soignez votre épiderme de l’intérieur ! Les capsules de bêta-carotène, d’acides gras et/ou d’antioxydants vous garantissent un bronzage prolongé et sublimé. Mais elles n’ont pas que des avantages esthétiques : ces compléments alimentaires aident les cellules, bombardées de radicaux libres par les UV, à se régénérer, à se protéger et même à contrecarrer les actions vieillissantes du soleil. Troquez les longs bains contre des douches rapides et limitez-vous aux gels nettoyants sans savons, respectueux du film hydrolipidique et présentant une composition minimaliste (sans colorants, sans parfums). En effet, l’épiderme desséché risque de réagir de manière exagérée, en présentant des intolérances, des irritations, de l’eczéma, etc.

Présentez une chevelure de sirène

Les cheveux sont essentiellement composés de protéines (kératine) et d’eau. Déshydratés par la chaleur, l’eau de mer ou le chlore de la piscine, ils deviennent plus cassants, plus ternes et accumulent même les frisottis.
Pas d’hésitation pour traiter (ou prévenir) les têtes « chapeau de paille » : usez et abusez de soins capillaires hyper-nourrissants, tels des baumes, des huiles ou des masques. Cette cure de choc évite ou estompe également les démangeaisons, les pellicules, les frisottis et les pointes cassantes…

Trichez, c’est permis

Vacances, j’oublie tout ! Même de baisser les bretelles du bikini à la plage ? Pour effacer les zones blanches, jouez avec un autobronzant ou un gel teinté. Choisissez-en un plus clair que votre bronzage et appliquez-le soigneusement sur les parties les plus pâles. Voire sur tout le corps pour rattraper le hâle qui s’estompe toujours trop tôt.

Rentrez sans tache

Elles représentent les souvenirs désagréables ramenés des vacances : les taches de pigmentation surgissent à tout âge, suite à un excès d’UV. Les coupables ne sont pas toujours aisés à repérer : la pilule mal dosée, la grossesse, certains médicaments ou cosmétiques, tels les parfums, etc. Lesquels ne font pas bon ménage avec les rayons solaires. Du coup, les mélanocytes, ces cellules pigmentées activées par les UV, connaissent un excès de zèle, ce qui entraîne des dépôts exagérés de mélanine. Et ce, principalement sur le visage, le décolleté et/ou les mains.
Personne n’est épargné, ni les peaux claires, ni les plus mates. Ces taches ne sont pas dangereuses mais complexent fortement…
Et hélas, elles récidivent très fréquemment. En pharmacie, les soins dépigmentants atténuent les marques légères, à condition d’être patient : comptez au moins deux mois avant de retrouver un teint Blanche-Neige. Ces produits contiennent un cocktail d’acides de fruits, de vitamines (la C a des vertus éclaircissantes) et d’extraits végétaux qui « endorment » la production de mélanine.
S’ils ne fournissent pas d’amélioration après six mois, consultez un médecin esthétique et/ou un dermatologue, qui disposent d’armes plus musclées : le peeling chimique, l’utilisation du laser, etc. Toutes ces techniques provoquent une abrasion de la couche superficielle de la peau. A prévoir bien après le dé bronzage, elles sont efficaces… mais jamais miraculeuses.